| de facteur de croissance de fibroblaste.
Les prot�ines dans la famille des r�cepteurs de facteur de croissance de fibroblaste ont une structure fortement conserv�e. La prot�ine enjambe la membrane de cellules et se compose de trois extracellulaires immunoglobuline-comme des domaines, un domaine liphophile de transmembrane, et des domaines intracellulaires de kinase de tyrosine. FGFR3 est exprim� en cartilage et cerveau, et l'homologue de souris est connu pour n�gocier l'effet du facteur de croissance de fibroblaste sur des chondrocytes.
En vertu de sa fonction connue et localisation chromosomique, donc, le g�ne codant FGFR3 �tait un candidat fort pour le g�ne d'achondroplasia.
Deux groupes d'investigateurs ont r�cemment rapport� des analyses du g�ne FGFR3 dans les personnes avec l'achondroplasia. Les deux groupes ont trouv� les mutations FGFR3 dans l'ADN des personnes affect�es et n'ont trouv� aucune telle mutation dans l'ADN des personnes inchang�es. Dans les familles avec les membres affect�s multiples les mutations identifi�es ont �t� h�rit�es avec le d�sordre. �tonnamment, les deux groupes ont constat� que chaque mutation �tait exactement au m�me nucl�otide dans le domaine de transmembrane du g�ne FGFR3. En tout mais tr�s peu d'autres d�sordres g�n�tiques ont �tudi� jusqu'ici, diff�rentes familles affect�es ont diff�rentes mutations dans le g�ne de la maladie. Shiang et autres. constat� que 15 des 16 mutations d'achondroplasia ils ont analys� a eu une transition d'guanine-�-ad�nine (G-� -Un) au nucl�otide 1138; la 16�me mutation �tait un transversion de guanine-�-cytosine (G-� -C) au m�me nucl�otide. (la mutation de point de A s'appelle une "transition" quand une purine remplace une purine ou une pyrimidine remplace une pyrimidine; ce s'appelle un "transversion" quand une purine remplace une pyrimidine ou vice versa. les deux mutations ont eu comme cons�quence la substitution de l'arginine pour la glycine � l'acide amin� 380 de la prot�ine. De m�me, Rousseau et autres. constat� que chacune des 23 mutations d'achondroplasia de leurs s�ries a eu comme cons�quence la m�me substitution au m�me acide amin� du domaine de transmembrane de la prot�ine FGFR3. Cette proportion �lev�e de mutations identiques (100 pour cent pour le changement d'acide amin�), qui est sans pr�c�dent pour un d�sordre dominant autosomal dans lequel plus de 80 pour cent de cas repr�sentent de nouvelles mutations, peut expliquer l'uniformit� du ph�notype dans l'achondroplasia.
Les mutations d'achondroplasia se produisent dans un dinucl�otide de guanosine de phosphate de cytidine (CpG) dans l'ordre du g�ne FGFR3. Des dinucl�otides de CpG sont connus pour �tre mutational "points chauds"; les r�sidus de cytosine � c�t� d'une guanine ont une tendance d'�tre m�thyl� et puis deaminated, ayant pour r�sultat la substitution du thymine pour la cytosine. Cet �v�nement changera une guanine en ad�nine sur la rive oppos�e (de sens) qui �tait l'�v�nement observ� dans 37 des 39 mutations FGFR3 rapport�es jusqu'ici. Le taux de mutation au nucl�otide 1138 du g�ne FGFR3 est donc deux � trois ordres de grandeur plus haut que les taux de mutation calcul�s pour les points chauds de CpG-mutation dans le g�ne du facteur IX, faisant conna�tre le nucl�otide 1138 le nucl�otide le plus fortement mutable actuellement dans le g�nome humain. La raison du taux particuli�rement �lev� de mutation � ce nucl�otide, aussi bien que les effets ph�notypiques d'autres mutations dans le g�ne FGFR3, reste � l'explorer.
G--Un � la transition et G--C au transversion FGFR3 au nucl�otide 1138 cr�ez nouveaux d'identification emplacements pour des enzymes de restriction, le rendant particuli�rement facile � d�terminer de les pr�sence ou absence des mutations en ADN genomic. En cons�quence, le diagnostic pr�natal de l'achondroplasia heterozygous, de l'achondroplasia homozygous, et de l'�tat inchang� homozygous est maintenant possible. La disponibilit� du diagnostic pr�natal soul�ve les questions morales complexes au sujet des options reproductrices pour des couples avec l'achondroplasia. Puisque les adultes avec l'achondroplasia sont toujours heterozygous pour le g�ne anormal, il est possible que deux parents affect�s aient des enfants qui sont inchang�s affect�, heterozygous, ou homozygous homozygous (i.e. de la stature moyenne). Si seulement un parent est affect�, les enfants seront inchang�s heterozygous ou homozygous.
D'autres avances importantes ont �t� r�cemment faites dans notre compr�hension des dysplasies squelettiques. Hypochondroplasia, un d�sordre squelettique semblable mais distinct derri�re l'achondroplasia, semble �tre li� � la m�me r�gion sur le chromosome 4 qu'est achondroplasia, mais aucune mutation FGFR3 n'a �t� encore identifi�e en ADN des personnes dans cette condition. Reardon
et al. r�cemment mutations FGFR2 rapport�es dans les patients pr�sentant le syndrome de Crouzon, la forme la plus commune de craniosynostosis. � travers l'utilisation des techniques de position de clonage, le g�ne pour la dysplasie diastrophic, une dysplasie squelettique r�cessive autosomal, s'est r�cemment av�r�e pour coder un transporteur de sulfate. Diastrophic dysplasie, comme l'achondroplasia, est caract�ris� par dwarfism, et il est particuli�rement commun en Finlande. Des progr�s sont faits dans l'identification des g�nes causant plusieurs autres dysplasies squelettiques, y compris le pseudoachondroplasia, dysplasie epiphyseal multiple, et hypoplasia de cheveux de cartilage. Ainsi, nous semblons �tre au seuil d'une r�volution dans notre compr�hension du r�le des g�nes sp�cifiques dans la croissance et le d�veloppement squelettiques normaux et pathologiques.
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